14 11 2007
Photo du samedi le mercredi
Par Yo, à 19:17
I want cash. Understood ?
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14 11 2007
Par Yo, à 19:17
I want cash. Understood ?
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10 02 2006
Par Yo, à 20:04
Pourquoi Comic sans MS et pas avec?
En voilà une autre question très à la con. Réponse immédiate et sans appel : parce qu'on est beaucoup mieux sans MS qu'avec.
À moins d'être un ardent défenseur du monopole. Ou alors on a des actions Mickeysoft. Ou même un lien de parenté quelconque avec Bill. Mais la probabilité de ce genre de choses ne doit pas plafonner très haut tout de même, alors on dit qu'on est mieux sans.
Mais en fait qu'ententons réellement par ce "sans"? Car il n'y a pas que le Comic, il y a aussi le Lucinda par exemple. C'est là qu'une fois encore, wikipédia est utile. Cette fois en anglais, vu que la version française laisse quelque peu à désirer. Je me suis donc rendu là et là, pour ainsi découvrir que sans voulait bien dire sans, c'est-à-dire la marque d'absence. Que ce terme français était utilisé dans toutes les langues - y compris l'anglais, donc - pour une raison que je ne connais pas (sûrement parce que les imprimeurs Français furent les premiers à les enlever). Et que ce qui était absent dans cette police archi-utilisée (qui a dit trop? qu'il se dénonce!), c'était les serifs ou empattements pour rester en français jusqu'au bout.
Là je me dois de sortir les définitions :
Empattement : TYPOGRAPHIE. Trait plus ou moins épais aux extrémités d'un jambage (en rouge sur l'image).
Jambage : ÉCRITURE. Élément vertical de certaines lettres.
Enfin, Comic est le petit nom propre de cette police inventée en 1994 par Vincent Connare, designer maison de MS Corp., mal-inspiré vous diront les mauvaises langues. Dans l'esprit, cette police rappelant vaguement la typo des comics américain devait servir à accompagner un chien dans un package pour enfant (c'est expliqué ici) parce que le Times New Roman ça le faisait pas. Succès fulgurant, usage à gogo (y compris dans des rapports officiels, sans commentaire, un rapport écrit comme un Superman, ...) et réaction de rejet intense ou plagiat (cf. la police Mac Chalkboard) : voilà pour la petite histoire de cette police.
Donc voilà, Comic sans MS parce que : police rappelant celle des comics américain, sans bitonio aux embouts des lettres et développée par un salarié du mec le plus riche du monde.
Entre nous ça ne me la rend pas plus sympathique pour autant...
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03 02 2006
Par Yo, à 19:21
Mais à quoi ça sert franchement un trackback?
Ben oui c'est vrai ça, on voit ça partout et on sait jamais vraiment à quoi ça sert. En plus Nico m'avait promis un jour de me "trackbacker" (ou rétro-lier, c'est selon) et comme il ne l'a jamais fait, j'en profite pour lui expliquer (héhéhé).
Tout d'abord et comme à chaque fois, un petit tour chez Wikipédia (ça mange pas de pain, même si une fois encore "il ne faut pas toujours croire tout ce qui est écrit") : alors selon nos pairs d'internet qui ont contribué à l'article, un trackback (ou rétro-lien donc) c'est un objet informatique qui permet de lier un article B qui nous a plu dans un article A tout en faisant savoir à l'auteur dudit article B qu'il nous a plu et qu'on l'a fait savoir dans notre article A. Oui oui vous avez saisi, en gros c'est pour faire de la pub pour un billet tout en se faisant de la pub pour soi-même.
Ça y est, le plus dur est passé : vous savez désormais qu'un trackback ne sert à rien. Je peux maintenant vous expliquer comment on fait pour faire un truc qui sert à que dalle (hmm ce que j'aime quand j'arrive à toucher l'essence subtile de ces questions à la con). En fait c'est très simple, surtout si on sait comment faire.
Remarque: l'explication n'est apparemment pas très claire. j'ai essayé de faire mieux, mais je crois le résultat n'est pas totalement satisfaisant. But who cares?
Tout d'abord il faut savoir que l'adresse du lien que l'on va utiliser pour renvoyer au billet B dont on veut faire la pub et créer ainsi le trackback peut être différent du lien "réel" du billet. La raison peut par exemple en être que le billet se trouve sur une plate-forme de blog, type blogger, alors que les commentaires et les trackbacks sont gérés par une plate-forme du type HaloScan. Il y a donc bien une utilité aux liens "trackback" à côté des liens "commentaires" à la fin des billets : grâce à eux on peut obtenir l'adresse permanente du billet.
Il faut donc utiliser les "liens permanents" en lieu et place des "liens" dans le corps du billet afin de réaliser un trackback.
Et enfin on "pingue" les adresses URL. Aha. Je savais qu'il y avait une embrouille. Qu'est-ce donc qu'un ping??? Eh bien toujours selon Wikipédia c'est le nom d'une commande permettant d'envoyer une requête ICMP (Protocole de contrôle des messages sur Internet, en Français dans le texte) à une autre machine : en gros c'est le truc qui fera savoir au billet du site B qui vous a intéressé que votre billet A en parle. Mais comment "pinguer"? Avec Dotclear, c'est über-facile. On clique sur l'option "Pinguer les URLs" et on entre les adresses permanentes. Avec Blogger, il faut activer les "Backlinks" dans les options (et éventuellement modifier le code initial pour les vieilles versions). Avec le reste ben je sais pas je connais pas. Mais entre nous qu'importe.
Car à bien y réfléchir et comme annoncé précédemment, un rétro-lien (ou trackback, mais je vois que vous suivez) ne sert à rien d'autre que de se faire sa propre pub. Alors que moi, comme une certaine E-diote, je blogue essentiellement pour moi. Et si je la rétro-lie c'est juste pour lui me nous faire de la pub, et aussi les pieds. Mais comme elle a une vieille version de Blogger, ben ça marche pas.
Quand je vous dis que ça sert à rien !!!
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14 01 2006
Par Yo, à 13:13
...posée le samedi 14 pour des raisons que vous comprendrez tous.
Pourquoi tout le monde joue-t'il au Loto/Euromillions le vendredi 13?
Je ne peux y tenir plus longtemps et je balance le mot, c'est à cause d'une forme de paraskaviedekatriaphobie et de masochisme combinés (ce blog deviendrait presque philosophiquement incompréhensible...). Paraskaviedekatriaphobie, du grec phobie = la peur, para = contre, skavie = chute, tria = l'essai, et deka = sans caféïne comme tout le monde l'avait deviné (c'est pratique de faire des mauvaises blagues, n'importe qui peut suivre) : en gros la peur d'essayer de faire du parachute sans avoir pris un vrai café, mais vous pouvez vérifier là si vous me croyez pas.
La superstition du vendredi, du nombre 13 et de la combinaison des deux n'est pas neuve, ses origines sont complexes, diverses et sont pour tout dire assez floues selon mois (mais c'est ce qui fait toute la puissance d'une superstition : on sait que c'est irrationnel, mais on se débrouille toujours pour trouver des preuves de son existences et des points de départ plus ou moins tangibles). D'aucuns disent que la Bible est l'origine de tout, d'autre que les religions Nordiques ont tout inventé, certains voient des signes dans les civilisations mayas ou japonaises... Un joyeux bordel que tout cela. Pour faire une synthèse de tout ça, mieux vaut lire certains sites ayant une vocation exhaustive plutôt que ma bafouille confuse et approximative. Mais maintenant que je suis là, quelques origines et faits ne seront pas de refus :
On peut chercher beaucoup de correspondances entre les vendredis, le nombre treize et les évènements de la Bible, mais le plus communément répandu reste l'association du vendredi, jour de la crucifixion de Jésus, et du nombre des convives de la Cène, treize, soit Jésus et les douze Apôtres parmi lesquels le traître Juda. Un fait remarquable (littéralement, à remarquer) est l'absence totale du mot vendredi dans la Bible (moteur de recherche de mots ou expressions du texte de la Bible ici).
D'après la mythologie Nordique, lors d'une sauterie organisée par Odin au très select club du Walhalla, le pique-assiette Loki, dieu feu et de la discorde, se ramena à la teuf sans y être invité et porta malencontreusement le nombre de convives à treize. Hors il n'y avait des victuailles que pour douze, et le beau Balder, connu autant pour son appétit que pour son beau minois, tenta de le mettre à la porte. S'en suivit une rixe et la mort de Balder, et le sentiment que dorénavant tout repas à treize devrait de faire en armure, au cas où. (ok j'avoue les témoignages sur cet épisode ne concordent pas tous mais bon)
Le vendredi tiendrait au jour de célébration de la Déesse de la Lune et de la Mer, Freya, tombé en disgrâce (faible mot) suite aux invasions chrétiennes (vendredi= friday -Freya's day- ou fredag en Suédois).
Avez-vous déjà vu une chambre 1313 au treizième étage d'un hôtel? Ou le rang n°13 d'un avion? Depuis les cérémonies sataniques faisant suite aux interdictions chrétiennes sus-mentionnées, comportant 13 présences: douze sorcières (dont Frigga) et un diable, jusqu'aux petits arrangements des ingénieurs, pas de répit. Même les mathématiciens s'y mettent, cherchant des propriétés inhabituelles au nombre treize :
le carré de son symétrique est le symétrique de son carré : 312 = 961 et 132 = 169;
la somme des chiffres de son carré est égale au carré de la somme de ses chiffres: 1+6+9 = 16 et (1+3)2 = 16.
Vraiment, j'en reste sans voix.
Il convient tout de même de reconnaître l'influence grecque et romaine pour expliquer l'ambiguité du vendredi treize : en effet le nombre treize, s'il marquait la rupture, la fin d'un cycle, était également magnifié et considéré comme plus puissant. Ainsi Zeus était-il le treizième Dieu de l'Olympe, et Ulysse, 13ème de son groupe, échappa à l'appétit dévorant du Cyclope. De là proviennent peut-être les vertus de chance dues treize, et un renversement de la paraskaviedekatriaphobie.
Mais ne vous méprenez pas : les seuls chanceux dans cette histoire de vendredis treize sont les Française de Jeux et consorts.
Enfin dans le doute, j'ai rien écrit là-dessus hier. Car comme dit l'adage, prêté à au moins treize auteurs différents,
"Je ne suis pas superstitieux, ça porte malheur".
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13 01 2006
Par Yo, à 18:55
Mais pourquoi ne trouve-t'on plus de tubes de dentifrice?
A la demande générale (si si) je reprends ma rubrique délaissée -tout comme le reste de mon blog mais passons- pour me poser une question vraiment très intéressante (non vraiment je suis sûr que je ne suis pas le seul à m'être posé cette question hautement philosophique). En effet qu'est-ce qui a bien pu motiver les designer de récipient à dentifrice pour passer du bon vieux tube à ça :
Je me le demande vraiment. Il est vrai que la technique de vidange de tube demande un minimum d'expérience, pour ne pas laisser la moitié du contenu au fond du tube, pour ne pas s'y reprendre à vingt fois en pliant et dépliant le tube jusqu'au moment où celui-ci se fend, créant alors une deuxième ouverture sans bouchon et une fuite ruinant l'objet définitivement ; pour ne pas lutter, enfin, contre cette saloperie de merde ce dentifrice qui veut pas sortir de ce con de tube à chier qu'est presque fini mais pas totalement et que j'ai encore oublier d'en acheter un neuf avant de rentrer du boulot... Bref la technique de vidange de tube demande un minimum d'expérience.
Mais bondiou de bondiou, 23 ans moins les mois sans dents m'avaient préparé, et je me sentais fort face au tube. Pourquoi diable fallait-il que des designers en mal d'inspiration se fendent d'un packaging révolutionnaire, original et aussi pratique que les becs verseurs à ouverture facile (aaah l'ouverture facile, quel beau concept) qui permettent de foutre du lait partout, sauf dans son bol? Mmh, pourquoi? Pour un peu je relancerais bien une guerre contre les petits fils rouges des crèmes de gruyère...
Ma réponse tiendra en quelques mots : l'art du marketing. On peut aussi appeler ça "ou comment justifier sa paie".
Les études le prouvent, les gens n'aiment pas perdre leur bouchon de tube de dentifrice ; qu'à cela ne tienne, accrochons le bouchon au tube! Conséquence, l'étanchéïté n'est pas totale et le dentifrice risque de sécher ; solution, on rajoute un bouchon énorme au-dessus (énorme pour ne pas le voir finir au fond du lavabo, bien entendu).
Les tubes de dentifrices se ressemblent tous, c'est un fait, et il faut se démarquer! Les couleurs vert fluo, rose fluo et bleu fluo sont déjà prises, alors changeons plutôt la forme! De toute façon avec cet énorme bouchon le tube ne ressemblait plus à rien. Un beau corps rigide, de forme tellement oblongue qu'on dirait un suppositoire géant (d'autres ont eu des idées plus salaces), ça c'est original! Et pour éviter la fuite qui tue, on ne plie plus rien : y'a qu'à pousser à l'arrière et ça sort (ahem).
Oui mais voilà : un emballage rigide, un dentifrice qui sèche à l'entrée et l'obligation de pousser à l'arrière tout en maintenant le bouchon amovible en position ouverte, ça nécessite deux mains. Et avec la troisième on tient la brosse à dents.
Ma conclusion c'est donc que sous prétexte de faire beau, de faire neuf et de faire nouveau, on fait souvent con (et je dis pas ça uniquement parce que je lutte depuis deux semaines avec mon tube, ma brosse à dents et mes trois mains). Je ne m'étendrai pas plus sur les imbéciles qui se sont plaints des difficultés du tube standard et qui ont poussé ces génies de l'emballage à se surpasser. Mais je constate qu'on a remplacé une solution qui marche (plutôt bien quoiqu'on en dise) par une solution qui marche (aussi mais subjectivement moins bien) plus chère et moins écologique. Ou alors c'est Matoo qui a raison avec son Dentigode.
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25 12 2005
Par Yo, à 10:29
Ce soir je me souviens de
Mon Auberge Espagnole
Ben oui la nostalgie ne prévient pas quand elle arrive, et même quand on l'attend (et qu'on se plaint d'avoir à l'attendre, stupidement effrayé de ne rien ressentir) elle frappe là où ça fait mal, à l'endroit précis où se loge la boule du stress, de l'angoisse, de la tristesse, pile au milieu du ventre.
Ironie des choses, c'est en regardant ce film, L'auberge espagnole, que tout s'est déclenché. Tout d'abord le souvenir du point de départ. Car si j'ai toujours été attiré par l'étranger et les voyages, c'est vraiment la première fois que j'ai vu ce film que je me suis dit que ce serait vraiment un truc à faire. Tout s'est décanté et c'est quand j'ai eu l'occasion de partir que les choses ont ressurgi.
Ensuite, ce film a réveillé des souvenirs de mon passage en Suède. Alors bien sûr ça se passe pas comme dans le film. Bien sûr le réflexe naturel de rester avec des Français est beaucoup plus présent une fois qu'on est vraiment en situation, et même si on cherche à fuir, on est parfois fainéant ou on a besoin d'un petit bout de maison - sans compter que les Français qu'on rencontre à l'étranger ne sont pas moins intéressants à l'étranger, voire au contraire. Et bien sûr aussi on n'a pas tous la chance de se faire initier au corps de la femme par une demoiselle aussi charmante que Cécile De France. Mais l'idée est là, le dépaysement, la découverte, et ce foutu sentiment d'être étranger au retour.
Enfin cela m'a fait penser aux gens, ceux que j'ai quitté en France et ceux que j'ai quitté en Suède. Bien sûr j'ai revu mes amis de France. Mais au final le résultat est le même : la rupture a transformé les relations et les protagonistes, moi le premier ; les chemins ont évolué différemment. Et je me retrouve là, au milieu, un peu perdu dans un monde ni tout à fait étranger ni tout à fait familier. Avec une seule envie, celle de repartir.
Mais pour bien expliquer ce souvenir en forme de bilan, je dois dire que je ne regrette rien. Je conseille même à tout le monde de tenter l'expérience car elle est extrêmement formatrice, mais il ne faut pas oublier que le retour est aussi difficile que le départ. Et si l'envie de repartir est toujours aussi forte, ce n'est pas forcément pour fuir, mais aussi pour se construire. Et peut-être aussi parce qu'on aime ça, tout simplement.
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09 12 2005
Par Yo, à 12:06
D'où vient le mot SPAM?
Là encore je sens que je me pose une question dont beaucoup ont déjà la réponse mais c'est pas grave (après tout j'ai tout de même reçu la visite de quatre personnes cherchant à savoir comment tricoter une écharpe!). Une première recherche dans Wikipédia, toujours utile, puis sur l'oasi permettent d'avoir une première réponse à cette question à la con : le Spam est une invention de Hormel Foods Corporation à base de Spiced Ham (ou Spiced Pork and Ham) qui constituait la base du repas militaire britannique ; quant à l'utilisation du terme en informatique elle date de 1994, alors que le cabinet Canter & Siegel polluait des groupes de discussion Usenet avec deux spams qui n'en portaient pas encore le nom et qu'un des participants de ce forum, excédé, aurait répondu en anglais dans le texte :
Send coconuts and cans of Spam to Canter & Co. Be sure to drop the can of Spam on its seam first.
Soit en substance : Envoyez des noix de coco et des boîtes de Spam à Canter & Co. Veillez à laisser tomber la boîte de Spam en plein sur sa soudure.
Commentaire sibyllin s'il en est, dont le sens ne peut être perçu que par les initiés des turpitudes montypythonesques. Car qui dit noix de coco et Spam dit bien évidemment Monty Python! (je précise que je n'y aurais moi-même évidemment jamais pensé vu que noix de coco, lapin de Troie et sorcière plus légère qu'un canard, oui, mais franchement Spam pas vraiment)(d'où ma question con d'ailleurs qui n'aurait pas lieu d'être si j'en connaissais déjà la réponse)(Houla tant de logique d'un coup j'en ai mal au crâne)
Bref. Donc ce participant aficionado d'humour décalé connaissait le sketch de clotûre du 25ème Monty Python's Flying Circus mettant en scène un couple allant au restaurant et bien vite submergés par du Spam à toutes les sauces : au menu (Egg and Spam, Egg Bacon and Spam, Egg Bacon Sausage and Spam, Spam Eggs Spam Spam and Spam...), groupe de vikings chantant Spam! Spam! Spam! et encore Spam!, serveuse hystérique... Bref du Monty Python dans toute sa splendeur dont les possesseurs de connexion rapide pourront trouver une version video ici (30Mo), sinon il faudra se contenter d'une version script là.
Pour la petite histoire, la Hormel Foods Corporation a toujours soutenu le sketch des MP, comme on peut le voir sur leur site, alors que l'usage du mot spam en informatique, non. Il doit y avoir une limite à ce que l'auto-dérision peut supporter.
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